La coopération internationale a beaucoup progressé durant la dernière décennie pour trouver des solutions à quelques-uns des problèmes les plus urgents auxquels l’humanité fait face. Les transferts de savoir et de savoir-faire adaptés en fonction du contexte se multiplient et le rôle des acteurs locaux fait enfin partie des priorités.
Des pas de géants ont été réalisés depuis le colonialisme de bon papa ! Mais on n’efface pas du jour au lendemain l’héritage laissé par des siècles de domination européenne. Même avec les meilleures intentions du monde, cela reste difficile de mettre en place de nouvelles pratiques. Inconsciemment, les Occidentaux gardent l’image du blanc qui vient sauver les pauvres, qu’ils soient d’Afrique, d’Asie ou d’Amérique latine.
Chez Echos Communication, nous pensons qu’une meilleure prise en compte du facteur humain, individuel et collectif, permettra de donner un coup d’accélérateur vers une coopération plus efficace, plus durable et plus pertinente. Cela doit se traduire dans les pratiques des acteurs de terrain autant que dans les cadres qui régissent la coopération au développement.